Numéro vert Bruxelles Mobilité.
Prévalence des mariages forcés
Parlement francophone bruxellois
Question écrite de Fatoumata SIDIBE, députée MR-FDF, à Emir KIR, Ministre de l'Action sociale et de la Famille Concerne : Prévalence des mariages forcés. 28septembre 2010
La réponse est disponible ici
Les victimes de mariages forcés peuvent bénéficier d’une aide auprès de divers acteurs sociaux bruxellois. Il s’agit notamment du Centre de prévention des violences conjugales et familiales qui offre un premier accueil téléphonique ou encore de la Maison rue Verte et du home Victor du Pré qui peuvent héberger les victimes de mariages forcés en grave difficulté.
Quelle prise en charge des victimes de mariages forcés ?
Proposition de résolution Mariages forcés
Accompagnement des victimes d’inceste
Parlement francophone bruxellois
Demande d’interpellation de Madame Fatoumata SIDIBE, députée, à Monsieur Emir KIR, Ministre chargé de l’Action sociale et de la Famille – 19 novembre 2010 Concerne : L’accompagnement des victimes d’inceste . L'interpellation est disponible ici.
Le compte-rendu complet est disponible ici
L’ONE, dans un document de 1991, définit l’inceste comme étant « l’abus sexuel réalisé par un (des) parent(s) ou allié(s) de l’enfant avec qui le(s) le mariage est impossible ». L’inceste est considéré comme un tabou universel, présent dans quasiment toutes les sociétés, même s’il peut prendre des formes assez différentes.
Les sanctions en cas de logements inoccupés
Lutte contre les violences conjugales
La lutte contre l’analphabétisme
Parlement francophone bruxellois
Interpellation de Fatoumata SIDIBE, députée MR-FDF, à Charles Picqué, Ministre chargé de la cohésion sociale et à Emir Kir, Ministre en charge de la formation professionnelle - 19 novembre 2010 Concerne : La lutte contre l'analphabétisme. La réponse est disponible ici
Le compte-rendu est disponible page 3 en cliquant ici
L'état des lieux de l'analphabétisme en Région bruxelloise reste préoccupant. Tant pour les wallons que pour les bruxellois, il n'existe pas d'enquête systématique sur le niveau de maîtrise de compétences de base. En l’absence de chiffres réels, il est difficile d’évaluer si l’alphabétisation évolue positivement ou non dans notre Région. L’analphabétisme touche les jeunes, travailleurs, demandeurs d'emploi, primo-arrivants, personnes incarcérées, femmes au foyer, pensionnés, personnes en situation de grande précarité.
Signes religieux dans des bureaux de vote lors des élections du 13 juin
Parlement de la Région Bruxelles-Capitale.- 17 octobre 2010
La réponse est disponible ici.
Le compte-rendu est disponible page 19 en cliquant ici
Lors des élections fédérales du 13 juin dernier, des citoyens ont fait état de la présence de signes religieux dans l’enceinte même de certains bureaux de vote.
Dans un des cas, il s’agissait d’un crucifix décorant les murs ; crucifix que la présidente du bureau a refusé d’enlever à la demande d’un électeur. Dans certains bureaux de vote à Bruxelles, on a signalé le port du voile islamique par des assesseures, voire des présidentes de bureau, voile qui, chez certaines, ne laissait voir que le visage. Et dans deux bureaux de vote, à Schaerbeek et à Saint-Josse, sur six membres du bureau, trois étaient des assesseures voilées.
Monsieur le Ministre, un bureau de vote étant un lieu dévolu à la chose politique, et donc protégé de l’immixtion du religieux, la présence de signes religieux donne le signal que le suffrage se fait sous l’œil de dieu et contrevient au principe de séparation du religieux et de l’Etat.
Numéro vert crimes d’honneur et les mariages forcés
Parlement francophone bruxellois
Question orale de Fatoumata SIDIBE à Emir KIR, Ministre de l'Action sociale et de la Famille - 9 juin 2010 Concerne : mise en place d’un numéro vert dans le cadre de la lutte contre les crimes d’honneur et les mariages forcés. La réponse est disponible ici
Le compte-rendu est disponible page 58 en cliquant ici
Monsieur le Ministre,
La problématique des mariages forcés est un sujet délicat et encore tabou. Peu de statistique, peu de plainte et pourtant, cette problématique constitue une réalité inquiétante en Belgique, même si l’ampleur de ce phénomène est difficile à évaluer. Lors des débats qui se sont déroulés récemment à l’occasion de la journée de la femme j’ai déjà eu l’occasion de vous interpeller sur cette problématique. J’avais souligné combien les témoins, les proches et les associations restaient démunis face à l’insuffisance de structures de prévention, d’accueil, d’accompagnement, d’hébergement et de protection. J’avais souligné également l’importance de mettre en place des dispositifs d’information à destination des familles, des pères, des frères, des oncles mais également d’accompagner les jeunes filles en situation d’urgence. En effet, bien souvent, elles ne savent pas à qui s’adresser pour échapper à ces pratiques et obtenir protection et sécurité.